Trois mois déjà que les 6e Scènes sauvages se sont achevées, et c’est déjà la rentrée! Mais wow, stop, ça va trop viiite! Et pourtant, si, il faut déjà se plonger dans la préparation de la suite.
Oui, mais voilà, quelle suite?
La voilà, la grande question! Et c’est à peine si elle s’est faite oublier, cet été. Pour le savoir, et après sept années de travail acharné, à défendre sur le terrain l’utopie d’un théâtre hors les murs, d’un théâtre de fraternité et de sororité, il nous faut désormais prendre le temps de faire le bilan. De se réunir, réunir celles et ceux qui nous accompagnent, et réfléchir, penser collectivement à ce qui fonctionne, et à ce qui fonctionne moins. Nommer l’essence de ce festival, et essayer de la préserver.
Notre aventure achève son premier cycle de vie, voilà, c’est comme ça. Et c’est bien que ça soit comme ça.
Tout change, tout bouge!
Le festival, s’il le peut, s’il le faut, pour ses équipes, pour ses spectateurs, entrera dans un âge de maturité.
En attendant, merci à tous et à toutes celles et ceux qui nous ont aidé, un peu, beaucoup, sans compter, merci à toutes et à tous, celles et ceux qui sont passés, une fois, deux fois, toutes les fois, à celles et ceux qui en ont parlé, qui ont tracté, qui ont fait à manger, hébergé, accueilli et orienté, monté, démonté, monté et démonté encore, à celles et ceux qui ont écrit, filmé, documenté, et vu. À tous et toutes celles et ceux qui ont vu, merci!